De la casse à Marrakech

Fustigé par le danger proche, Pat envoie au diable toute prudence et se met à courir. A sa surprise, il s’aperçoit non sans satisfaction que les badauds qui l’entourent suivent son exemple. Un vieillard s’est déchaussé, et clopinant, trotte, ses babouches à la main. Des passants refluent en désordre vers le quartier réservé où les femmes poussent des cris hystériques. Pat croit comprendre les raisons de l’affolement général. La foule a dû interpréter le coup de sifflet comme le signal d’une rafle de police, avec matraquages en suspens !